L'intensité du développement de la société a un lien inextricable avec les transformations économiques structurelles. Ils sont, à leur tour, le résultat de changements révolutionnaires progressifs et dynamiques dans le système. 
Période industrielle
À cette époque, le système économique des pays dotés d'une industrie développée visait principalement à accroître la production d'actifs de production par rapport à la fabrication de biens de consommation. Cette orientation a été considérée comme l’un des facteurs du développement progressif. Cela se reflétait dans les travaux de Marx et de Lénine. Ces derniers, en particulier, ont formulé l’idée d’une croissance prédominante de la production d’actifs de production. Cette loi constituait la base scientifique des phénomènes étudiés. En outre, il a reflété les conditions de la période industrielle qui lui correspondaient. 
Changement de situation
Au cours des progrès scientifiques et technologiques, des transformations qualitatives fondamentales de la base technique de la société ont eu lieu. Ils ont provoqué des transformations significatives dans la structure de la production sociale. Parallèlement à cela, deux tendances se sont formées. La première était liée à l’émergence de nouvelles industries de haute technologie et d’industries analogues à celles de la nature. À la suite de la première étape de la recherche scientifique et technologique, l’énergie nucléaire, l’automatisation et les moyens techniques, la chimie des polymères, etc., ont commencé à se développer activement. Le résultat de la deuxième étape de la révolution a été la création d’une génération d’ordinateurs d’une nouvelle qualité, une production entièrement automatisée, des complexes de robots, l’apparition de matériaux composites, etc. Tous ces outils ont eu un impact significatif sur la structure de production, déterminant son niveau de haute technologie. Une autre tendance concerne l’effet destructeur des progrès scientifiques et technologiques sur la formation de la microéconomie. Cela s'est traduit par une réduction des industries traditionnelles qui ne pouvaient pas concurrencer de nouvelles. Il s’agit notamment de l’industrie de la tourbe et du charbon, de la métallurgie des métaux ferreux et de quelques autres. Leur déclin contribue à exacerber les tensions nationales et crée du chômage. 
Résultats STR
La transformation de la production traditionnelle, l'isolement d'un grand nombre de travailleurs dans la fourniture de services ont marqué le passage à la période postindustrielle. Les radiations et les déchets technologiques importants sont devenus l’une des conséquences du progrès scientifique et technologique. Ils ont affecté négativement l'état de la nature, détruit l'environnement humain, perturbé ses interactions avec la biosphère. Résultat d’une production moderne de haute technologie, ces problèmes appellent des solutions appropriées. Ainsi, NTR, d’une part, a considérablement modifié le système de gestion traditionnel et, d’autre part, a entraîné la création de nouvelles industries et entreprises qui ont commencé à influencer non seulement l’intensité de nombreux processus modernes, mais aussi à en déterminer l’intensité.
Les spécificités de la période postindustrielle
Avec le passage à une nouvelle phase de développement, les fondements et la nécessité d'une expansion prioritaire de la production des actifs de production disparaissent. Dans le cadre de la période postindustrielle, il y a eu une expansion dynamique du secteur des services, la redistribution non seulement du capital, mais également de la main-d'œuvre. Ces changements ont nécessité le développement de la production de biens de consommation (moyens). Cette tendance a été constatée dans l’ouest au milieu des années soixante. siècle dernier et en Russie - à la fin du siècle. Les processus dynamiques modernes déterminent la priorité constante de l'une ou l'autre structure.De telles fluctuations nécessitent une réponse active de la part des États. 
Industrie de la défense
Le complexe militaro-industriel occupe une place particulière dans la structure macroéconomique. Le complexe militaro-industriel est une association spécifique de représentants des forces armées, d'entreprises et de gouvernements impliqués dans la production de produits de défense et le maintien du secteur concerné. La particularité des produits manufacturés ne permet pas de les attribuer à des moyens de consommation ou de production. La nature fermée de ce secteur entrave le développement de la rétroaction. Cela conduit à un mouvement de fonds à sens unique. En conséquence, le fonctionnement du secteur de la défense a des effets contradictoires sur le développement économique. Avec une augmentation du coût de production des armes, le déficit budgétaire augmentera. L'augmentation des coûts de la recherche sur la défense entraînera une réduction des coûts pour des processus similaires dans le secteur civil. L'augmentation des dépenses militaires est étroitement liée à la hausse de l'inflation.
Déséquilibres
Le déséquilibre entre la production de moyens de production, de produits de consommation et de produits de défense dans la seconde moitié du XXe siècle a provoqué des crises structurelles importantes dans le système économique. Tout d'abord, les déséquilibres ont commencé à être clairement visibles dans les pays à capitalisme développé. Déjà dans les années 60, ces États ont commencé à réorienter leurs systèmes vers la production de moyens de consommation. Dans la Fédération de Russie, ces processus ont traîné. Un tel ralentissement a prédéterminé les crises structurelles, leur nature et leurs conséquences pour le pays. 
La souche
Les transformations les plus importantes des systèmes économiques en développement sont les transformations structurelles. Ils sont principalement associés aux macro-systèmes clés. Comme nous l'avons découvert, il s’agit de la libération de ressources industrielles, de la fabrication de moyens de consommation et d’armes. Ils agissent comme les causes de la crise structurelle, qui se distingue par une certaine orientation. Des déformations soudaines peuvent avoir des effets très négatifs. Toute crise économique recouvre à la fois les relations internationales et nationales dans le cadre de l'activité économique du pays.
Les spécificités du phénomène
Les caractéristiques des crises structurelles sont leur relative "partialité". En règle générale, ces déformations concernent une seule sphère ou industrie. Dans le même temps, ils constituent l'un des éléments clés de la crise économique générale dans le pays. Cela est dû au fait que les déformations d'une industrie ou d'une sphère affectent inévitablement les autres qui leur sont associées. Le résultat est une réaction en chaîne. En cela, ils diffèrent des autres types de changements. Les crises cycliques, par exemple, se caractérisent par une transformation de la conjoncture générale. Les déformations décrites, en revanche, provoquent des changements dans des domaines ou des industries spécifiques. Les crises structurelles touchent souvent de nombreux secteurs de l'économie nationale et même mondiale. En règle générale, ces déformations sont causées par un déséquilibre entre les industries - développement unilatéral des uns au détriment du fonctionnement des autres. 
Degré d'influence
Les crises structurelles peuvent affecter le système économique pendant une période suffisamment longue. Par exemple, le déséquilibre énergétique provoqué par une forte augmentation du coût du pétrole en 1973 a longtemps influé sur le développement de nombreux pays du monde. Dans l'histoire de la formation du système économique, des crises structurelles se sont produites régulièrement. Les types les plus communs incluent financier, agricole, devise. Ces derniers se manifestent sous forme de sauts brusques dans la monnaie nationale du pays. Les crises structurelles agraires se traduisent par des difficultés périodiques lors de la vente de produits agricoles sur le marché mondial ou national.
Nouveau système Swings
La crise cyclique est caractérisée par une certaine constance. Il se manifeste périodiquement, après un certain temps.Les crises structurelles à cet égard en sont fondamentalement différentes. Ils sont très spontanés, irréguliers et apparaissent au fur et à mesure que se développent les prérequis. Parallèlement à l’émergence de nouveaux secteurs et industries, STP a contribué à la formation de nouveaux déséquilibres entre:
- Industries traditionnelles, en croissance et nouvelles.
- Industries minières et manufacturières.
- Nouvelles structures macroéconomiques.
Le manque d'attention portée à certains problèmes les plus urgents dans le cadre de l'épuisement de nombreuses ressources conduit à l'émergence périodique de crises agraires, énergétiques et de matières premières. Leur intensité a particulièrement augmenté au milieu des années 70. siècle dernier. 
Résolution de problèmes
Les crises structurelles nécessitent une attention particulière de la part des autorités et la mise au point de certaines mesures pour y remédier. Pour résoudre les problèmes liés aux matières premières dans de nombreux États, une politique aux multiples facettes est en cours de création et d’introduction de substituts (sources d’énergie, par exemple). En outre, la base technique est en cours de réaménagement en fonction des progrès du progrès scientifique et technologique, et la réservation de ses propres ressources (si nécessaire et à faible coût sur le marché mondial) est effectuée. Lors de la modernisation du secteur manufacturier, un autre problème de grande envergure se pose. Au cours de la conversion et de l'amélioration du parc d'équipements, de nombreux spécialistes se retrouvent sans travail. Avec une masse importante de ce processus, une nouvelle crise structurelle survient. En Russie, il existe aujourd'hui de nombreux spécialistes au chômage dont les connaissances et les compétences ne sont plus réclamées. Ce problème nécessite une solution immédiate, l'utilisation de mécanismes de régulation spécifiques.
